Notre pub ... autrement
Au jardin d'Elfe, les fées ont transgressé.
Cela, vous l'avez suivi hier.
Mais elles n'ont pas dit leur dernier mot, les fées. Une transgression, quand on y a mis la langue, on y revient. Enfin des fois. Enfin souvent. Enfin je sais pas, ça dépend.
Donc elles n'ont pas dit leur dernier mot, ni en ce qui concerne la transgression, ni en ce qui concerne l'imagination.
Suivez bien les images des prochains jours, notre petit doigt nous dit que les marraines ailées, les marrains zélés, les elfes mariné(e)s et quelques autres jardiniers ont des idées sous la casquette.
Néanmoins, Frangé dans le métro, ça méritait bien quelques souvenirs.
"des restes de publicité qui volent au vent"
extrait de "Le costume blanc" Joe Dassin, P. Delanoë, C. Lemesle,
clin d'œil de tu sais qui à tu sais qui.
Aujourd'hui ils déchirent, ils grattent, ils escabottent, ils remplacent, les messieurs du métro, avec leurs grands seaux leurs grandes échelles leurs grandes brosses, et leur dextérité aventurière. Peut-être même vont-ils décrocher BB, qui sait, c'est bon, vous pouvez sortir vos chiens des placards à balai.
C'est normal,
c'est le calendrier qui fait ça.
Il y a d'autres spectacles à l'affiche, et il faut bien que tout le monde s'envitrine.
Enfin, certains plus que d'autres, mais à cela, nous n'avons pas tout compris encore.
Donc quelques souvenirs. On ne va pas tout publier cette fois, revenez nous voir. Pour les curieux impénitents, l'album entier (ou presque) est sur notre profil Facebook Frangélik mots nomades.
Mais ici, on prend son temps pour donner à chacun la place qu'il mérite, alors ça peut nécessiter quelque délai.
La petite fille
avec la permission de sa maman et d'elle-même, prochaine fan sur parole et sur flyer, à rencontrer très bientôt à Les Déchargeurs.
Quelqu'un m'a dit que le peuple parisien était un grognon. Que le peuple du métro était un échantillon sociologique représentatif de presque toutes les vicissitudes de l'urbanisme grognon. Que le peuple du quai est par nature pressé (et grognon) et qu'il n'a "rien à foutre de ta gueule" (sic). Que le peuple parisien est grossier.
Bref.
Quelqu'un a dit beaucoup de choses, comme tous les quelqu'un du monde qui ont un avis sur la question.
Moi, je n'en ai pas.
J'ai ce matin, seulement une moisson d'images à partager, et derrière chaque image, le souvenir d'une personne, d'une rencontre, d'un clin d'oeil, d'un échange, d'une curiosité, d'un pourquoi pas, qui ne passe pas par un forum de rencontres. Ces images racontent peut-être quelque chose sur le peuple parisien que Quelqu'un ne sait pas.
Gageons que le peuple parisien tout entier viendra nous entendre à Les Déchargeurs.
Peuple parisien, on compte sur toi pour faire connaître ces pages, nous aider à les alimenter, faire tourner nos infos (message ci-dessous à faire circuler sur tes mailings sans modération), le faire connaître sur tes forums préférés, pour venir à
Les Déchargeurs, y revenir, et y faire venir tes potes.
(non parisiens ne pas s'abstenir !!!)
Frangélik
Mots Nomades
Les lundis et mardis
à 21h45
Salle Vicky Messica
Durée : 1h15
Textes : Angélique Condominas et Frank
Schluk
Musique : Frank Schluk
Mise en scène : Baba Yaga : Delfine Hova, Katia Redier, Anne Veyry
Lumières : Benoît Baillard
Costumes : Laurence Vaissière
Avec : Angélique Condominas (chant),
Frank Schluk (guitares, chant), Christophe Ricard (basse, contrebasse), Ahmed
Aït-Naceur (percussions)
(Crédit photographique : Thierry Chantegret)
3, rue des Déchargeurs
75001 Paris
Réservations au 0892 70 12 28 (0,34 €/mn)
Métro Châtelet / sortie rue de Rivoli côté n° pairs